Après un retour à la table de quatre jours avec l’aide d’un médiateur, les équipes de l’AFPC-UEDN, qui négocient au nom de quelque 500 civils des bases militaires, se sont retirées devant l’intransigeance d’un employeur qui refuse toujours d’offrir des salaires décents aux travailleuses et travailleurs les moins bien payés de la fonction publique fédérale.